| Titre | Auteur | *Revue**Année**Mois* *pages**nb références |
Date ou Période | Résumé | Lien |
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| Premier passage de François Ier | J. Saunier | Evocation 1946/05**p 4 à 6**2 réf | 1515 | Déplacement de François I à Lyon puis de Vienne à Grenoble et site de campement de l’armée à La Verpillière | |
| Sur les routes du Dauphiné | J. Saunier | Evocation 1946/12**p 44 à 46**8 réf | 1515**octobre | Notes sur la bataille du 01/09/1515 **Retour des troupes françaises et troupes étrangères licenciées, des morts nobles, des prisonniers nobles | |
| Un curieux pèlerinage Série 1 | J. Saunier | Evocation 1947/11**p 199 à 201**8 réf | 1516 | Mai 1516 séjour de François I à Lyon et Crémieu. A Chambéry auprès de Saint Suaire**Il voyage en compagnie de sa famille : les deux reines, de son entourage politique, militaire, religieux. **Heyrieux est choisi au deuxième jour, récompensée en 1542 par le roi qui lui octroie deux foires et marché. **Le chemin reprend par Saint Quentin et le 5 juin La Verpillière. | |
| Un homme de 1848 Marc Antoine Brillier | J. Saunier | Evocation 1948/01**p 236 à 243**4réf | 1809-1888 | Education et adolescence de Marc Antoine Brillier.**Avocat Républicain Conseiller Municipal Organisateur du banquet réformiste de Vienne en décembre 1847.**Election à l’Assemblée Constituante Participation à l’élaboration de la Constitution, du 4 novembre1848. **Le document est la généalogie des ancêtres de Marc Antoine Brillier et le rôle de la famille dans son éducation en particulier celui du médecin d’Heyrieux Antoine Marie Rosier. | |
| Un curieux pèlerinage de François I après 1515 Série 2 | J. Saunier | Evocation 1948/02**p 274 à 276**11 réf** | 1515 | Le roi poursuit la gestion de son royaume. Nomination à Lyon réception et audiences des ambassadeurs.**Description de l’arrivée à Chambéry et de l’accueil du duc de Savoie Charles II et de la population.**Cérémonie auprès du St Suaire et présentation à la foule par trois évêques. Retour par chemin direct. Il fera Artas Lyon en un jour avec repas à d’Heyrieux. Il reste encore 3 semaines à Lyon, avant de partir en Touraine**La reine Claude donnera naissance à Charlotte le 23 octobre 1516. | |
| Le Velin Souvenirs en toponymie | J. Saunier | Evocation 1949/05 **p 426 à 430**21 réf | Moyen-âge | Les traces du Velin dans les noms de villages et dans les activités de traversée du Rhône. | |
| Le Velin caractère antique de ses Poypes | J. Saunier | Evocation 1950/01**p 548 à 552**15 réf | Moyen-âge | Le Velin ; Plaines, dauphinoise et lyonnaise encadrées par Rhône, Ozon, Chéruy**Rôle des mottes soit sépulture tumulus, soit base de construction motte féodale, soit tertre factice limite. **Etude des poypes comme bornes, vocabulaire et toponymie localisation rives du Rhône etc. | |
| Jadis à la Guillotière, sur les limites du Velin | J. Saunier | Evocation 1950/11**p 686à 689**14 réf | Moyen-âge | La motte, une poype, un château, un carrefour de routes**La traversée du Rhône reste liée à des hypothèses exposées dans ce texte.** | |
| Une vieille poype du pays de Velin.**Le Tumulus de Solaize | J. Saunier | Evocation 1950/03**p 588 à 592**16 réf | Moyen-âge | Une chance de pouvoir localiser et explorer le tumulus antique de Solaize avant sa destruction. Il était double le grand Merquet dominant de 90m le Rhône, coulant à 500m On note à proximité du petit Merquet un mégalithe cubique a demi-enfoncé. La motte est artificielle, le fossé de prélèvement est encore visible. On avait déjà trouvé quelques éléments en exploitant la falaise.**Plusieurs Hypothèses sont rapportées ici. | |
| Jadis sur les routes du Rhône à la limite du Velin, Feyzin | J. Saunier | Evocation 1950/05**p 619 à 623**16 réf | Moyen-âge | Feyzin rive gauche est une cité antique avec des vestiges de villa gallo-romaine et d’inscriptions romaines. Elle possédait une poype, disparue sans avoir été fouillée, des vestiges de château, des textes en font mention. Elle serait située au-dessus de l’église et serait un poste d’observation des monts du lyonnais et Lyon jusqu’Givors et de communication par signaux de fumée. | |
| Postes douaniers et péages féodaux évocateurs des limites du Pays de Velin | J. Saunier | Evocation 1951/01**p 711 à 715**23 réf | Moyen-âge | Les péages sont évocateurs des limites administratives, des voies de circulation routière et fluviale et des villes ou ports. Le texte ne traite pas des impositions des foires et survole les douanes de Valence et Lyon.**Listes des péages en limite du Velin. | |
| A propos de Chatillon à Meyrié | J. Saunier | Evocation 1951/05**p 799 à 800**4 réf | Moyen-âge | Recherches archéologiques sur le site de Chatillon au village de Meyrié pour déterminer l’emplacement de Chatillon. | |
| Du pont d’Anthon aux abords de Lyon. | J. Saunier | Evocation 1951/10**p 805 à 811**27 réf | Moyen-âge | Le Moyen Age distingue les péages « par terre » sur route ou pont et péages « par eau » au port. Les péages par eau sont plus rémunérateurs. Les péages concernent marchandises, personnes, animaux, outil de transport, pontonnage. Les recettes servaient aussi à l’entretien des contraintes de circulation.Les religieux pouvaient être totalement exempts de paiement. | |
| Les troupeaux savoyards à l’hivernage dans le Velin | J. Saunier | Evocation 1951/03**p 739 à 743**17 réf | 1800 | Sur les chemins de l’abbaye Notre Dame d’Aillon vers la grange de Chaponnay et/ou la grange de Saint Quentin** | |
| Le commerce du sel en terre Empire | J. Saunier | Evocation 1952/01**p 871 à 877**23 réf | 1800 | Au Moyen Age, le sel était une marchandise précieuse et particulière, d’ailleurs une taxe particulière lui était associé en France : la gabelle.**Certaines voies d’acheminement sont connues sous la dénomination: « chemin du sel » en bourgogne. | |
| Pierre de Savoie**Comte de Savoie**Série 1 | J. Saunier | Evocation 1952/03 p 900 à 904**15 réf | 1270 | Seigneur de Saint-Georges-d’Espéranche**Et son Maître d’œuvre **Maître Jacques de Saint-Georges le début d’un maître d’œuvre au XIII | |
| Pierre de Savoie**Comte de Savoie**Série 2 | J. Saunier | Evocation 1952/05 p 934 à 939**20 réf | 1272 | Seigneur de Saint-Georges-d’Espéranche et son Maître d’œuvre Maître Jacques de Saint-Georges au service de Philippe comte de Savoie** | |
| Maître Jacques de Saint-Georges**série 3 | J. Saunier | Evocation 1952/08 p 969 à 973**7 réf | 1272 | Maître d’œuvre du roi d’Angleterre Edouard I | |
| Découvertes récentes gallo romaines en pays viennois. | J. Saunier | Evocation 1953/05 p 1094 à 1096**9 réf | romain | Découvertes lors de travaux. La mosaÏque de Septème et la fresque d’Oytier**Comparaison avec les techniques utilisées dans les autres sites.**Analyse faite par des chercheurs locaux. | |
| Tassin de Saint Georges.**Maître d’œuvre du château de Fallavier | J Saunier | Evocation 1953/03**p 1062 à 1066**13 réf | 1275 | Saint Georges d’Espéranche, «ville neuve» de Philippe de Savoie est une pépinière de «maçons».**Jean constructeur avec son fils Jacques d’Yverdon.**Jacques devenu Maître Jacques architecte militaire des comtes de Savoie Pierre et Philippe de Savoie puis du roi Edouard I d’Angleterre.**Les Frères Tassin et Gilet de Saint Georges d’Espéranche qu’on imagine liés à la famille de Maître Jacques. | |
| Le rite du «poêle» de la bénédiction nuptiale | J. Saunier | Evocation 1954/11**p1337à1338**6 réf | 1800 | Le «poêle» est un voile tendu comme dais au-dessus des futurs époux pendant la bénédiction nuptiale et la présence d’enfants dessous a valeur d’enfants légitimes pour le couple 866: rite du Pape Nicolas I**et au XVIII reconnaissance juridique d’enfants légitimes | |
| Notes d’histoire du loup | J. Saunier | Evocation 1954/03p 1224 à 1233**21 réf | 1800 | Evolution du loup, Toponymie, Anthroponymie**Terreur et menace permanente aggravée en cas de famine, Liste d’attaques,1442,1616, 1673 une fillette dévorée, en 1693 70 personnes tuées et nombreux blessés, en1726 des loups enragés sont signalés.**Des rassemblements sont organisés en 1754, avec plus de1900 habitants, l’armée et les autorités locales, les résultats sont décevants, en 1817 Attaque d’une louve autour de La-Tour-du Pin, 1884 les loups ont diminués. Début du XX disparition des loups ? en 1954 battue et mort d’un loup à Vignieu | |
| Les Frères Pontifes | J. Saunier | Evocation 1954/04 p 1288 à 1294**25 réf | Moyen-âge | Les constructeurs de ponts : des religieux, Le rôle du clergé pour l’entretien, Matériaux : du bois à la pierre **Les catastrophes de 1190 et 1196, La gestion du pont sur le Rhône par Pierre de Savoie en 1309.**Après 1700 pour un pont tout en pierre | |
| Le pont de la Guillotière | J. Saunier | Evocation 1954/01p 1188 à 1Evocation 195**18 réf | 1200-1800 | Dynamitage en 1953. Premier pont sur le Rhône, Pont frontière : marques et symboles des pays riverains sur le pont et conséquences, différentes juridictions sur le pont et conséquences, Les catastrophes dont celle du 19 juillet 1500, En 1789 fin des notions de frontière. | |
| Le relai postal de Saint Laurent de Mure en 1689 | J. Saunier | Evocation 1955/05**p1423à1428**11 réf | 1689 | Louis XI crée la première fondation royale qui correspond à la poste aux chevaux, ou transport des plis royaux par relais. Ce transport évolue au XVII aux plis destinés à des particuliers. **Sous Louis XII, maîtres de postes et chevaucheurs évoluent pour mettre ce service auprès du public François I développe fortement ce service régulier et l’étend aux besoins militaires. | |
| Le Traité de Paris du 05/01/1355 | J. Saunier | Evocation 1955**p 1391 à 1397**17 réf | 1355 | Participants Roi et Dauphin : Jean le Bon et Charles (V) Comte de Savoie Amédée VI **Echange des enclaves savoyardes en Dauphiné **Rôle de **Humbert I aux mains blanches à l’origine de la dynastie des Comtes de Savoie**Et par son héritage source de conflits. | |
| Le traité de Paris de janvier 1355 et ses multiples conséquences | J. Saunier | Evocation 1955/11**p 1491 à 1498**22 réf | 1355 | Echange durable de terres entre Jean II le Bon, le premier Dauphin futur Charles V et le comte de Savoie Amédée VI dit le comte Vert.**Nécessité d’apaiser les Dauphinois lésés. Reste la frontière du Guiers vif ou mort à préciser.**Solution dauphinoise acceptée. Originalité de Pont de Beauvoisin | |
| Discipline pour rechercher les voies romaines dans le Nord Dauphiné | J. Saunier | Evocation 1955/04**p 1398 à 1409** | Ecrit fait en partenariat avec P St Olive.**Consulter : les archives diverses du MA et avant, les manuels de géologie et d’archéologie, les cartes d’Etat Major anciennes, les directives de constructions de voies des Romains.**Etudier les caractéristiques des voies romaines en rapport avec le sol et végétation, le climat et les matériaux disponibles localement ainsi que les liaisons civitates/ pagi/vici.**Sur le terrain : Quêtes d’informations des habitants, de toponymie locale. D’observations des chemins existants, des bornes milliaires avec leur localisation et croix, Repérer les cours d’eau, les gués, l’écoulement de l’eau dans le temps.**Noter sites ou traces d’auberges, gîtes, d’hôpitaux, maladreries, églises isolées. Proposer un itinéraire validé par plusieurs preuves et des portions à forte probabilité | ||
| L’église des chevaliers de Malte à Saint Romain en gal, ses tombeaux et leur légende mérovingienne | J. Saunier | Evocation 1956/03**p 1562 à 1569**17/18 réf | Moyen-âge | Description de la commanderie avec l’église.**Hypothèse sur les 4 tombeaux mérovingiens**Analyse de l’église à travers le temps de son édification à maintenant. | |
| Relation de l’Abbaye de Saint Claude avec le Dauphiné | J. Saunier | Evocation 1957/01**p 1710 à 1717**18 réf | 800 | Création effective de l’Abbaye : St Oyand, son rayonnement à Grenoble : la chapelle St Oyand (église St Laurent)**Apogée sous les carolingiens avec : 1 des donations de terres prés de Vienne, quintenas, vallée de l’Ay. :2 le droit de battre monnaie. Lieu d’exil des vassaux Dauphinois opposés en 1343 et 1347 au rattachement du Dauphiné à la France.**Saint- Oyand-de-Joux (Saint-Claude) et ses dépendances autour de Vienne, Vivarais et Roussillon, Grenoble | |
| Le chemin de St Oyand | J. Saunier | Evocation 1957/01**p 1742 à 1758**34 réf | Moyen-âge | Les repères du chemin croix et Prieuré, églises, Hospices…Les gués ou traversées de rivières, fleuve, La ville de St Oyand,**Les reliques de St Oyand et St Claude, Le développement de la ville et les objets de piété**Les pèlerins célèbres Louis XI, Ste Jeanne de Chantal | |
| La Fondation de Lugdunum | j. Saunier | Evocation 1957/11**p 1844 à 1849**22 réf | romain | Le caractère lyonnais de l’ancien pays de Velin | |
| Le caractère lyonnais de l’ancien pays de Velin | J. Saunier | Evocation 1958/01**p 1872 à 1880**33 réf | romain | La Fondation de Lugdunum et le caractère Lyonnais du Velin **1 les symbolismes des objets exemple les céramiques du célèbre Amator .**2 Toponymie : romaine : Noms en –acus ou –iacus. Le mont Mercure à Solaize : le grand Merquet**3 Dans la désignation du temps : les sépultures le long des voies de circulation | |
| Tombe à incinération gallo-romaine à Toussieu | J. Saunier | Evocation 1958/05**p 1934 à 1941**23 réf | romain | 1 descriptions de l’urne funéraire à deux vases dessins et signature de l’atelier de production **2 Chez les Romains, l’incinération est générale, elle a romanisé notre région de Lyon et Vienne jusqu’au III siècle.**L’urne romaine est placée dans un tombeau monumental ce qui est rare en Gaule.**3 Comment les cendres sont elles recueillies ? | |
| Les hôpitaux au Moyen Age et les Hospices sur la route de Rome | J. Saunier | Evocation 1959/01**p 66 à 72**23 réf | Moyen-âge | La notion d’Hôpital naît au Moyen Orient au IV siècle.**1 Les hôpitaux :Hôtel-Dieu ou Hôpital, Hospices et Maladrerie ou Léproserie.**2 Les hospices étaient des lieux d’hébergement pour pèlerins, passants et pauvres souvent accolés à un prieuré.**3 Les petits hôpitaux comme à St Fons avaient chapelle et cimetière attenant et 12 grands lits pour recevoir.**Des monastères se spécialisent dans la médecine connaissance livresque et jardin de plantes médicinales.**L’ordre de St Antoine en Viennois traite les gangrènes et le mal des ardents**L’Ordre des chevaliers de Malte ou frères hospitaliers de St Jean de Jérusalem a une double mission militaire et médicale. | |
| Un témoin de notre histoire locale : Le castrum de Colombier série 1 | J. Saunier | Evocation 1959/06**p 130 à 144**53 réf | 1120-1350 | 1 Les seigneurs de Vieux Colombier de 1120 à 1238**2 Description des vestiges de la forteresse et environs de la motte castrale appartenant au seigneur de la Tour (T) du Pin (P)**3 En 1250 le Castrum figure comme leg dans le testament très intéressant sur la vie médiévale, de Guy de La T du P archidiacre de l’église de Lyon et neveu de l’archevêque de Lyon.**Description détaillée des successions et des guerres, jusqu’à Louis XI | |
| Le cours du Rhône | J. Saunier | Evocation 1959/11**p 34 à 41**9 réf | 1790 | Le Rhône était frontière du Dauphiné mais cette évidence cache de nombreux conflits antérieurs jusqu’à 1790.**Rappel historique des rôles du Rhône, frontière entre la Bresse et le Dauphiné et limite départementale de l’Ain et l’Isère | |
| Antoine de Chandieu série 1 | J. Saunier | Evocation 1960/03**P 98 à 107**26 réf | 1563-1591 | La vie d’un gentilhomme ministre et théologien protestant** | |
| L’église et le Prieuré de Chavanoz | J. Saunier | Evocation 1960/01**p 66 à 76**25 réf | Depuis 608 | L’église Notre Dame de Chavanoz et le Prieuré dépendent de l’abbaye bénédictine de L’Isle Barbe.** | |
| Découverte de haches de l’âge de bronze à Porcieu- Amblagnieu | J. Saunier | Evocation 1960/11**p 34 à 40**12 réf | romain | 1 Histoire de la découverte.**2 Description des objets et rappel de la classification des haches de l’âge de bronze de Joseph Déchelette.** | |
| La vieille église Amblagnieu | J. Saunier | Evocation 1960/10**p 2 à 10**24 réf | 1225-1867 | Une filiale dauphinoise d’Ambronay** | |
| L’ancien comté de Roussillon et l’or du Rhône | J. Saunier | Evocation 1961/05**P 122 à 127**8 réf | 1363-1698 | Description du comté.**Droits féodaux : censive, vingtain, péage, leyde, droit sur l’or.** | |
| La Maison Forte de BY ancien domaine de la famille Vallier | J. Saunier | Evocation 1961/10**P 2 à 7**21 réf | 1437-1960 | Liste des propriétaires | |
| Halles de marché en Dauphiné et Savoie, | J. Saunier | Evocation 1961/01**p 86 à 90**10 réf | 1274-1698 | Droits prélevés par le seigneur et entretien par le seigneur.** | |
| La bastie d’Azieu | J. Saunier | Evocation 1962/01**p 66 à 76**37 réf | 1241-1776 | Existence d’une motte ou poype et certainement un château fort ou château de Mathan avec fortifications remparts. Il dépendait de la juridiction de Chandieu. Puis fut vendu au comte de Savoie. | |
| Philippe de Savoie | J. Saunier | Evocation 1962/11**p 2 à 9**24 réf | 1274-1285 | Fondateur du château et de la ville franche de la Côte-Saint-André et son maître d’œuvre : Maître Jacques de Saint Georges d’Espéranche | |
| Une notice historique inédite sur Charavines | J. Saunier | Evocation 1962/11**p 53 à 57**3 réf | 1843 | Une demande du préfet Pellenc de l’Isère pour établir une étude statistique du département en 1843.** | |
| Pierre Palmier, sieur de la Bastie, ses lettres et son château de Faverges. | J. Saunier | Evocation 1963/10**p 8 à 15**21 réf | 1589-1592 | La famille Palmier est brillante en Dauphiné fin XV. Elle compte** un archevêque de Vienne, un chanoine doyen du chapitre** | |
| L’église de la Côte Saint André | J. Saunier | Evocation 1963/01**p 82 à 88**21réf | 1088-1940 | Un sanctuaire existait avant l’église édifiée entre 1088 et 1102. Plusieurs fois restaurée ou agrandie, elle porte les marques de ces époques et de leurs vicissitudes.**L’église a donné son nom à la paroisse rurale de l’archiprêtré de Bressieu, au civil le village appartenait au mandement de Bocsozel (Savoie). | |
| 1 Le château de la Barre**2 La chapelle des pénitents blancs**3 Le terroir de Mirallier**4 Le château de Cazenove**5 Une promenade en carriole en 1807 | J. Saunier | Evocation 1964/01**p 89 à 92**2 réf | 1571**1671**1672**1807 | Le château de la Barre est une Maison Forte sans juridiction dont il reste aujourd’hui des vestiges d’une tour et des fenêtres à meneaux. On dispose de renseignements sur les anciens propriétaires dont Jean de Truchon premier président au parlement du Dauphiné, puis son neveu et sa famille.**Puis autres bâtiments | |
| La vieille Poype de Meyzieu | J. Saunier | Evocation 1964/10**p 8 à 14/15**25 réf | 50 BC à 1559 | 3 L’archiprêtré de Velin est une zone définie, au nord et ouest par le cours du Rhône qui évolue en largeur avec les saisons, au sud la vallée de l’Ozon, à l’est de Heyrieux à Anthon le cours de la Bourbre. | |
| La Tour de Lesdiguières. Vestige de l’ancien château fort de Saint- Jean- de- Bournay. | J. Saunier | Evocation 1964/03**p 103 à 110**18 réf | 1607-1812 | Sur la colline de la ville se trouve une tour en ruine dite de Lesdiguières, c’est le reste du village et du château fortifiés. | |
| Les moissonneurs d’autrefois en bas Dauphiné | J. Saunier | Evocation 1965/03**p 138 à 139**0 réf | 1789 | Les moissonneurs dauphinois | |
| A propos du second concile œcuménique de Lyon de 1274 | J. Saunier | Evocation 1966**p 34 à38**17 réf | 1272-1276 | Grégoire X était en croisade comme Edouard futur roi d’Angleterre à Saint Jean-d’Acre quand il apprend son élection | |
| Monseigneur d’Aviau, dernier Archevêque de Vienne puis de Bordeaux | J. Saunier | Evocation 1967/10**p 10 à 15**10 réf | 1789-1801 | Charles-François d’Aviau du bois de Sanzay est nommé Archevêque de Vienne fin 1789, sacré le 3 octobre 1790 dans une période difficile. | |
| Etienne Fontanel curé de Roche | J. Saunier | Evocation 1967/01**p 71 à 74**10 réf | 1773-1830 | La vie de ce curé | |
| Saint Symphorien d’Ozon**Des origines au château fort des comtes de Savoie | J. Saunier | Evocation 1970/11**p 46à 53**34 réf | 1354 | La ville est limite de frontière avec l’archiprêtré lyonnais de Meyzieu.**C’est un carrefour routier sur la route de Provence donc un péage routier. | |
| Symphorien d’Ozon relais postal | J. Saunier | Evocation 1972/**p 117 à 128**0 réf | 1464-1596 | Un relais postal et gîte d’étape sur la route de Vienne | |
| La voie romaine de Vienne à Bourgoin série 1 | J. Saunier | Evocation 1975/05**p 128 à 134**44 réf | Romain et moyen-âge | Chemin de Pavie, gué de la Charantonge, aqueduc du Vilmin, Oytier et ses vestiges gallo-romains, villa Santolatis, la grand’Maison, la via sibuenche, le terroir Maubuisson, ruisseau du Pétrier et Maison Forte, le château des Mures, le péage de Diémoz et son donjon | |
| La voie romaine de Vienne à Bourgoin série 2 | J. Saunier | Evocation 1975/10**p 3 à 7**11 réf | Romain et moyen-âge | Chemin de Pavie, gué de la Charantonge, aqueduc du Vilmin, Oytier et ses vestiges gallo-romains, villa Santolatis, la grand’Maison, la via sibuenche, le terroir Maubuisson, ruisseau du Pétrier et Maison Forte, le château des Mures, le péage de Diémoz et son donjon | |
| La voie romaine de Vienne à Bourgoin série 3 | J. Saunier | Evocation 1975/11**p 35 à 53**94 réf | Romain et moyen-âge | Chemin de Pavie, gué de la Charantonge, aqueduc du Vilmin, Oytier et ses vestiges gallo-romains, villa Santolatis, la grand’Maison, la via sibuenche, le terroir Maubuisson, ruisseau du Pétrier et Maison Forte, le château des Mures, le péage de Diémoz et son donjon | |
| Saint Symphorien d’Ozon.**1 Hôpital et Chapelles**2 Le Prieuré**3 L’église paroissiale | J. Saunier | Evocation 1975/01**1 p 88 à 92**11 réf**2 p 92 à 95**19 réf 7 réf**3 p 96 à 98 | 1150-1700 | Vestige unique d’une fenêtre de la chapelle et de l’hôpital sur les murs de la porte de Lyon.**Description de bâtiments. |